[Acte I] Le début de l'aventure

Hj: héhé le retour ! xD

* Arrive dans la chambre *
" Escuser, je perdre dans ville... "
* S'apperçoit que tout le monde est carrément mort... *
" Oh... d'accrod, je avoir compris. "
*se dirige vers son lit*
*Se bouffe la barre du lit dans la gueule, d'une façon trés élégante*
" Nii...Fadou..Jibou...pou..."
*S'avachit sur le lit*

La pomme à roulette continuait d'avancer sur le petit chemin paisible (l) (l)
*entend un BAM suivit de quelques rechignements*
-"Gnnnn..."
*signe de vie terminé*

Hj: Everygens, maintenant vous devez vous retrouver dans un rêve etrange, celui d'un gens qu'on sait pas qui c'est <')

Hj: Mais pourquoi celui d'un autre gens, on est pas censée être transportés dans le monde parallèle ? <'DD

Hj: les filles, sa vous dérangerais de me faire une expliquation détaillée? xD

Hj: Je vois que ca sert que j'explique dans un pavé les trucs... ==' J'en ai marre de rabacher la même chose, vous avez qu'à être attentive un peu =.='

Hj: Ok,Ok. Mais c'est un peu ta faute aussi, tu parle pas la france
"Everygens, maintenant vous devez vous retrouver dans un rêve etrange, celui d'un gens qu'on sait pas qui c'est"

Quelqu'un court.
Le long d'un corridor de métal verdâtre, de fer rouillé, où des araignées avaient tissé leur toile.
Les pas se font de plus en plus proche.
Derrière une porte, quelqu'un se cache.
Le sang bat à ses tempes, la respiration haletante.
Qui est-ce ?
La personne fait un mouvement, les jambes engourdies d'être restée dans la même position pendant si longtemps.
Un bruit.
Le petit placard dans lequel il était venait de s'élargir.
Les balais posés sur les murs tombent.
Des portes apparaissent et s'ouvrent.

Je veux les refermer.
IL se contente de jeter un coup d'oeil affolé.

Je veux crier.
Des formes se déplacent de l'autres côtés des portes, telles des être sans corps, ni conscience.
Une espèce de main difforme, ectoplasmique et jaunâtre franchit l'une des portes.
Elle essaie de saisir sa cheville.

Je veux l'avertir.
Le faire regarder.
J'essaie de regarder sur le côté, mais mon corps ne réagit pas.
IL se lève et ouvre la porte derrière laquelle il était caché.
La main le rate de justesse, retournant dans les abîmes d'où elle était venue.

Je ne veux pas.
IL sort dans le corridors et se retrouve face à son destin.

Je veux m'enfuir.
IL s'approche de la silhouette qui court.
Elle, qui ralentit à sa venue.

Quelque chose luit dans le noir. Un rayon de lumière atteint un objet qu'IL tient dans la main.

La silhouette émet un petit ricanement, et ses lèvres bougèrent.

Je n'entends rien.

Elle s'approche.

hj: c'est bon ?

Hj: J'ai lu tes explications, sois-en sûre, 2 fois même, mais je vois pas pourquoi on se retrouverai dans le rêve d'un autre gars (qu'est-ce qu'il foutrait là), plutôt que dans une autre dimension toute chelou qui nous transporterai ensuite sur Motsuji...
Ou on se retrouve dans un rêve commun et on fait une sorte de transformation et pis wala on est sur Motsuji.....
Enfin bref....
Eplique toi xD
@Mary : Je sais pas attendons les réponses aux questions <'DD

Hj: @ Mary: Bravo couzine t'as tout pigée <3
@ ceux qui n'ont pas compris: Motsuji, c'est LE MONDE DES REVES, donc forcement on est DANS UN REVE qui n'est PAS LE NOTRE pusiqu'on est SENSE aider quelqu'un a pas se faire BOUFFER par un ECTOPLASME, mais dans la normalité des choses, ce QUELQU'UN on le connait PAS et on est juste sensé entrer dans son reve et le SAUVER. Donc, ca en revient à ce que je disais : On est dans un rêve ETRANGE controle par un ECTOPLASME donc dans un REVE D'UN GENS QU'ON NE CONNAIT PAS. Je vois pas trop ce qu'il y a de difficile à comprendre, vraiment... Ou alors c'est que mon niveau intellectuel est trop élevé pour vous, dans ce cas, je m'en excuse =w="

Hj : ben on est pas censé être dans une sorte de rêve commun de tout le monde ? <'DD
Moi j'avais compris ça en tout cas...
Mais s'il faut qu'on défende personne par personne ça me va o/
Posterai la longue simulation plus tard <'DD

hj: @Annab: XD Merci <3
J'attends que vous postiez votre rêve et je continuerais le mien ^^

Hj: Bon, pour que tout le monde comprene:
MOTSUJI C'EST LE MONDE DES REVES, qui dit DES dit PLUSIEURS et plus particuliermeent PLUSIEURES MILLIARDS vu que ca équivaut à la population planètaire ! Tout les rêves sont liés entre eux, puisque c'est un monde à l'"effigie" du notre !
C'est bon, c'est clair ?

hj: très clair pour moi o/

Hj: oui c'est ce que je voulais dire depuis le départ <'DD
Mais alors pourquoi tu as dit "Everygens, maintenant vous devez vous retrouver dans un rêve etrange, celui d'un gens qu'on sait pas qui c'est"
Celui d'UN gens ça m'a embrouillée <'DDD

Hj: Tant pis, z'avez qu'a utiliser vos neuronnes correctement. <)

Hj: Je les ai utilisées correctement, c'est juste qu'on avait pas la même vision des choses, m'enfin c'est vous qui décidez, je ne suis qu'un simple membre o/
Dj:

Soudain, un cauchemar.
Enfin, c'est ce que je crus.
Une sorte de vortex s'offrit à ma vue.
Ca faisait mal.
Si mal...
Une goutte de sueur perla sur mon front livide, je crus ne jamais pouvoir m'échapper l'espace d'une seconde.
Puis tout à coup, un atterrissage forcé.
Sur un sol inexistant ou presque.
Des nuages.
Des anges.
C'était si beau.
Mais l'ange se mit à avoir mal lui aussi.
Il se transforma en démon.
Le paysage ne fut plus qu'une coulée de lave incandescente.
Tout cela fonçait sur moi, avec une légèreté improbable, et pourtant réelle.
L'étais-ce, tout ça ?
Une main verte surgit tout à coup du dessous du nuage de fumée, et m'attrapa.
Ce fut plus fort que moi, je hurlai.
Et puis il vint.
Lui.
Mon sauveur...

Hj: J'espère que ca vous convient, au pire j'éditerais.

Hj: Si c'est l'état d'esprit de ton personnage, ca convient =)
Dj:

Rei se sentait seule, ce paysage des plus banales qui l'entourait la rendait mal à l'aise, il n'y avait aucun bruit, pas le moindre son, ni odeur, ni chaleur, rien.
Elle était à genoux sur le goudron, dans la rue d'une ville. Mais il n'y avait personne. Même le vent semblait s'être absenté. Tout était joliement décoré dans cette rue, mais personne ne semblait habiter les jolies maisons ou tenir les banales boutiques qui se montrent d'habitude si chaleureuses.
Pourquoi il n'y avait personne ?
Y'avait-il quelque chose à fuir ?
Quelqu'un ?
Elle sentit ses joues s'humidifier, la seule chose qui la réchauffa un peu.
Elle n'arrivait pas à se lever.
Elle l'attendait...

- "Où es-tu...?
Et qui es-tu...?"

Hj : Notre sauveur, le gens qu'on attend, c'est l'éclaireur qui va se créer en même temps que notre identité virtuelle ?

Hj: Ouais c'est notre éclaireur qu'on doit trouvé =')

Hj: yeah j'ai compriiis xD
Bon j'le dessine et après j'le rencontre o/

hj: quelle cata vos esprits les gars quand meme /o'\ xDD
à mon tour cheveulu donc o\

dj:
Il faisait beau, pourtant.
Un léger vent, juste une brise, douce, tiède, agréable. C'était le soir il semblait. Un soir d'été, calme, sans bruit. Le ciel se teintait de couleurs chaudes et douces. Violet, rouge, orange, rose. . .
Mais où était-ce ?
Surement pas au Canada.
Peut-être au Japon ?
En tout cas, ces paysages paraissaient familiers. Familiers mais nouveau à la fois.
Au loin, le brouhaha rassurant d'une petite ville, toute occupée à fêter. Fêter quoi ? Auncune idée. Mais ils le fêtaient, et ils faisaient ça bien. Ca avait l'air bien, cette fête. Sans doute y avait-il des tas de choses à manger, des stands de jeux, de marionettes...
Mais en fait, tout cela, Nell s'en moquait éperduement.
Debout, au milieu d'un champ (de blé ? d'avoine ? qu'importe !), elle se moquait du monde.
Les yeux ouverts sur le vide, plus rien ne l'intressait. Mais elle était bien, comme ça. Peut-etre.
Ou pas.
Mais elle s'en fichait après tout.

Dans le fond, elle se rendait compte qu'elle était seule.
Mais ça ne la dérangeait pas vraiment.
Enfin si, peut-être un peu. Mais elle ne voulait pas de compagnie humaine.
Pff... les humains... pas très passionant...
Alors elle attendait.
Peut-être.
Ou peut-être pas.

Hj: Yeaaaah mon hair viens on court dans les champs \o/

hj: ouaiiis trop bieeen /o/

C'est là, dans cette forêt verte, où la brise apportait des odeurs maritimes, adossée à un arbre, que Nala grattait une guitare.
En plus d'un bruit de fond de vagues, on percevait quelques chants d'oiseaux.
Ils s'accordaient parfaitement avec la mélodie de l'instruments.
C'était beau, comment était-ce possible?
Quand avait-elle appris à jouer de la guitare?
Peu importe, elle en jouait, et ça lui plaisait.
Elle était bien.
Paisible.
Reposée.
Mais un sentiment de mal être l'envahit.
Il manquait quelque chose.
Mais quoi?
Un regard vers le ciel, et dans l'instant il se mit à pleuvoir.
Oh... c'était parfait à présent.
Et puis, il y eut quelque chose.

"Que...?"